7 avril 2012
Tu serais grosse
Je te tiendrais la main
Tu me regarderais, je lirais le bonheur dans tes yeux
Tu serrais grosse, enfin
Nous attendrions ce fruit cultivé à deux
Nous aurions discouru sur son prénom
Tu aimes, je déteste
Nous ne serions pas d’accord, fille ou garçon
Mais notre amour ne serait pas en reste
Et enfin il viendrait, après tant de temps
Cet enfant hypothétique
Il sortirait enfin du néant
Alors, fille ou garçon, on s’en fout, c’est magique
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